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Ma nuit à Beyrouth

Au début de la révolution d’octobre 2019, des blocs de béton ont été posés dans le centre-ville. Ces murs sont devenus un symbole de la situation catastrophique du pays, mais également une surface d’expression.

Ma nuit à Beyrouth

AUDITORIUM DE LA LOUVIÈRE

• ÉPINAL

 

Jeudi 27 mars 2025 à 20h30
 

Durée 1h15
 

(tout public à partir de 15 ans)

• Texte et mise en scène Mona El Yafi - Diptyque Théâtre

 

• Avec Mona El Yafi, comédienne et Nadim Bahsoun, danseur
 

Tournée nationale 2025 de la FATP

• Création Janvier 2025

Un homme venu visiter sa famille au Liban se rend à Beyrouth pour y
refaire son passeport. Il est libanais, cela ne devrait être qu’une simple
formalité. Mais dans un pays ravagé par les suites de la guerre et une
crise économique sans précédent, la simple formalité devient un chemin de croix.
Alors il danse.
Aïda, sa compatriote et amie, nous raconte les nuits passées dehors
parmi tant d’autres, dans l’attente du précieux sésame…
Aïda raconte, et l’homme danse. Il danse l’humiliation, le  découragement, sur les sonorités de la ville, sur les musiques orientales et occidentales mêlées…

 

Sa danse nous donne à vivre l’empêchement et, en filigrane, dans ce récit magistral, apparaît la complexité du Liban.
 

Entre eux deux, une grande complicité, un lien qui dédramatise, qui
appelle le sourire, voire le rire : ce qui se joue là, c’est leur condition de Libanais; ils font avec.

 

En fond de scène, un mur gris va peu à peu se couvrir de fresques,
d’affiches, de mots, de visages et de noms... à l’image des murs érigés dans la ville de Beyrouth, murs de la révolution, murs de la honte.

Ce mur est le 3ème personnage de ce spectacle singulier, puissant, émouvant, porté par deux jeunes Libanais meurtris, mais ô combien amoureux de leur pays.

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